A travers cette affirmation, Courbet exprime son profond attachement à son pays natal et établit directement un lien avec son œuvre. Tout au long de sa vie, Courbet revient régulièrement à Ornans. "… j’aime le plancher des vaches et l’orchestre des troupeaux sans nombre qui habitent nos montagnes" confesse-t-il dans une lettre à Victor Hugo.
Il fait de son terroir son principal sujet d’inspiration. Il a notamment immortalisé plus d’une douzaine de fois la source la Loue.
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